All the shit that you say
Pas dans la suite logique en musique aujourd'hui. Pour commencer un message personnel à Nicolas S., s'il pouvait avoir la bonne idée de se regarder dans un miroir en écoutant cette chansons. Fuck U c'était le premier single du Noise (2004) d'Archive. Je sais: j'ai un problème avec Archive, comme avec les Boo Radleys ou Genesis ou Queen et Depeche Mode en leur temps. Un peu maniaque des oreilles je sais. J'y peux rien moi. Et puis Noise, bon ben c'est Noise, les nuits sur Noise.
Rien à voir avec la suite. La reprise du Everybody's got to learn sometimes des Korgis par Beck. Allez sans déconner, si vous avez environ mon âge vous en avez fait des boums sur les Korgis! Pas que je sois tellement nostalgique des cocktails coca-orangina-schweppes, mais juste parce que je suis dans les mélodies élémentaires en ce moment, sûrement rapport à Mini-Rex machin-bidule pas encore né. Et là on est dans l'élémentaire revisité translucide pour la BO d'Eternal Sunshine of the Sootless Mind (2004) de Gondry. Soit dit en passant un sacré bon film.
Et pour se finir, tant qu'on est dans l'évidence musicale, le titre qui m'a fait découvrir Dionysos (tard donc): 45 tours qui figure sur Haïku et ses délires surréalistes. Ah c'est pas du surréalisme? C'est quoi alors? Bon, dans le style, la pochette ne vaut pas celle de The sun is blue like the eggs in winter, mais l'album a le mérite de dépasser les vingt minutes. Comme d'habitude y'avait déjà pas grand'chose à jeter sur ce disque qui s'ouvrait sur ce 45 tours inusable.
Rien à voir avec la suite. La reprise du Everybody's got to learn sometimes des Korgis par Beck. Allez sans déconner, si vous avez environ mon âge vous en avez fait des boums sur les Korgis! Pas que je sois tellement nostalgique des cocktails coca-orangina-schweppes, mais juste parce que je suis dans les mélodies élémentaires en ce moment, sûrement rapport à Mini-Rex machin-bidule pas encore né. Et là on est dans l'élémentaire revisité translucide pour la BO d'Eternal Sunshine of the Sootless Mind (2004) de Gondry. Soit dit en passant un sacré bon film.
Et pour se finir, tant qu'on est dans l'évidence musicale, le titre qui m'a fait découvrir Dionysos (tard donc): 45 tours qui figure sur Haïku et ses délires surréalistes. Ah c'est pas du surréalisme? C'est quoi alors? Bon, dans le style, la pochette ne vaut pas celle de The sun is blue like the eggs in winter, mais l'album a le mérite de dépasser les vingt minutes. Comme d'habitude y'avait déjà pas grand'chose à jeter sur ce disque qui s'ouvrait sur ce 45 tours inusable.